La Scop : "Un associé a une voix, qu’il ait mis 8000 ou 30 euros".

Publié le par Section Pcf Vierzon

Suite à un licenciement massif et convaincu que ces suppressions d'emplois étaient dues à des fautes de gestion, un groupe de développeurs-web décide de créer sa propre société. Ils choisissent d'opter pour une Scop, promesse de démocratie et de justice sociale en entreprise. C'est ainsi que Magnetic apparait en 2010, trois mois seulement après que ses fondateurs aient été remerciés par leur ancienne boite.

La Scop, société coopérative et participative, qui a perdu un peu de son identité ouvrière d'antan (jusqu'en 2010, société coopérative ouvrière de production ) reste mal connue. Pourtant, avec à peu près 2000 Scop en France qui pèsent un chiffre d’affaires de 3.5 milliards d’euros environ, les Scop séduisent de plus en plus de monde et s’adaptent parfaitement à toute sorte d’activités et de tailles d’entreprises. On compte parmi elles de grandes structures comme le  groupe Chèque Déjeuner ou la société Acôme. La Scop Magnetic a bien voulu nous ouvrir ses portes pour partager avec nous son histoire et son expérience.

Olivier, membre fondateur de la Scop et chef de projet chez Magnetic, nous raconte les étapes de la création de sa société.

 

Olivier évoque pour l'Humanité différents aspects économiques d'une Scop.

  • De nouveaux articles et interviews sur les scops, en particulier sur Magnetic, sont à retrouver les jours prochains sur l'humanite.fr, mais aussi dans les pages Travail de votre quotidien de lundi.

Bruno Rieth, journaliste l'Humanité.

Publié dans ECONOMIE

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